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Fat Freddy's Drop
Fat Freddy's Drop are a seven-piece roots/dub/reggae/jazz/soul band from Wellington, New Zealand.
The group's first major release was a live album, Live at the Matterhorn, a lengthy jam session recorded in a popular Wellington night club. Until 2005 they were best known for live performances, and their song Hope. Their first studio album, Based on a True Story was released on 2 May 2005. After only a day of release it had gone gold and was number one in the New Zealand album charts despite having little advertising or marketing. The album's first single, "Wandering Eye", spent 17 weeks in the RIANZ Top 40 Singles Chart and peaked at number six.
They dominated the 2005 New Zealand Music Awards, taking awards in every category in which they were nominated: Best Group, Best Album, Best New Zealand Roots Group and the Peoples Choice Award. On December 18, 2005 the group were awarded the Worldwide "Album of the Year Award", as voted for by over 20,000 listeners of Gilles Peterson's BBC Radio 1 'Worldwide' show.
They won three awards at the 2006 New Zealand Music Awards (18 October). The People's Choice Award, the Highest Selling NZ Album (for Based On A True Story) and Best Music Video for the single Wandering Eye.
The name "Fat Freddy's Drop" is a reference to a piece of blotter art featuring Fat Freddy's Cat, which was circulating in the NZ dance scene in the late 90's.
Members
Joe Dukie
Tony Chang
Fulla Flash
Jetlag Johnson
Dobie Blaze
DJ Fitchie
Hopepa
Former members
Tom Bilkey
Featured appearances
The group have appeared on many compilations since their inception both in New Zealand and internationally. The following is a list of these albums that have featured tracks by Fat Freddy's Drop.
(1999) - 21st Celebration (NZ) (Radio Active) - Hope
(2000) - One Love (NZ) (Radio Active) - Wairunga Blues
(2001) - Loop 002 (NZ) (Loop Recordings) - Little One (Live At McDonalds)
(2001) - Styles Upon Styles Part 1 (NZ) (Sugarlicks) - Runnin' (Studio Version)
(2002) - Loop 003 (NZ) (Loop Recordings) - Runnin
(2002) - Loop 004 (NZ) (Loop Recordings) - Bluey
(2002) - The Green Room 001 (NZ) (Loop Recordings) - Runnin
(2003) - Weekend Sessions (NZ/AUS) (Liberation Music) - Seconds
(2003) - Whooper Chopper Seaside Extravaganza (NZ) (Whopper Chopper Trust) - Willow Tree (Live in Berlin at Cafe Moskau)
(2004) - The Eclectic Sessions Vol. 2 (UK) (Trust The DJ Records) - Hope
(2004) - Best Seven Selections (Best Seven/Sonar Kollektive) - Hope & This Room
(2004) - Conscious Roots (NZ) (Capitol Music/Moving Production) - Hope
(2005) - Conscious Roots 2 (NZ) (Capitol Music) - Ernie
(2005) - Dub Conspiracy (NZ) (record label unknown) - Mightnight Marauders (Live on Gilles Peterson)
(2005) - The Green Room 004 (NZ) (Loop Recordings) – Hope
Singles
Year Single Album Charted - Certification
2002 "Midnight Marauders/Seconds"
2002 "Midnight Marauders/Dub Workout"
2003 "Hope/Bluey"
2003 "This Room/Ernie"
2004 "Hope 3 Generations Walking remix"
2004 "Seconds/Grounded"
2005 "Flashback/Midnight Marauders (Live on Giles Peterson"
2005 "Wandering Eye"
2008 "The Camel"
http://www.fatfreddysdrop.com/
http://www.fatfreddysdrop.com/home.php
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Fat Freddy's Drop
Fat Freddy's Drop est un groupe de musique absolument génial, originaire de Wellington, composé de huit membres, évoluant dans un mélange de roots, dub, reggae, jazz, et soul.
Leur premier album Live at the Matterhorn (2001) est une longue jam session enregistrée en live dans le populaire night club de Wellington. Entraînant à souhait!
Jusqu'en 2005 ils sont surtout connus pour leurs concerts, et leur morceau Hope.
Leur premier album studio, Based on a True Story, sort le 2 mai 2005 et est numéro un en Nouvelle-Zélande dès le lendemain de sa parution.
Wandering Eye, le premier single extrait de cet album, restera 17 semaines dans le Top 40 néo-zélandais, avec un pic à la sixième position.
En 2005, ils dominent les New Zealand Music Awards, recevant une récompense dans toutes les catégories pour lesquelles ils étaient nommés : meilleur groupe, meilleur album, meilleur album roots néo-zélandais, et le choix du public.
Le 18 décembre 2005, le groupe est récompensé par le titre d'album de l'année, décerné par plus de 20 000 auditeurs de la radio britannique BBC Radio 1.
Depuis, ils deviennent de plus en plus célèbres en Europe, répétant les tournées (à Paris en Novembre 2008 encore, allez-y si vous pouvez !)
Nous les avions vu une première fois en plein air à Petone, près de Wellington, ainsi que dans la ville même de Wellington quelques semaines plus tard (toujours en plein air!).
Puis je les avais revus au Cabaret Sauvage à Paris en 2006.
Les musiciens sont extrêmement doués, les cuivres vous étourdissent et la voix du chanteur est à tomber !
Membres
Joe Dukie (Dallas Tamaira) : chant
Tony Chang (Toby Laing) : cuivres (principalement trompette)
Fulla Flash (Warren Maxwell) : saxophone
Jetlag Johnson (Tehi Kerr) : guitare
Dobie Blaze (Iain Gordon) : claviers
DJ Fitchie (DJ Mu) : mix
Hopepa (Joe Lindsay) : trombone
Albums
2005 : Based on a True Story
2004 : Hope for a Generation
2003 : Five Day Night
2001 : Live at the Matterhorn
Fat Freddy's Drop - Prochain concert en France!!!
Mercredi 12 novembre 2008 à 19:30
Le Zenith
211 avenue Jean Jaurès
75019 Paris
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20 octobre 2008
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Le grand Stevie Wonder sera à Auckland
le 28 et 30 octobre, au Vector Arena! Et nous y serons!
Ce Stevie a quand même une voix absolument divine!
Un instrument... il en fait ce qu'il veut!
Allez, petit coup d'oeil rapide sur la vie de Stevie Wonder,
en attendant, je l'espère, de pouvoir vous montrer
des photos du concert bientôt!
The great Stevie Wonder will be in Auckland,
the 28th and the 30th of October at Vector Arena! And we will be there!
Stevie's voice is just completely gorgeous (for me)!
Like an instrument ... he does what he wants with it!
Come on, have a little quick glance on Stevie's life,
and I hope I'll show you nice pictures of the concert next time! 
Petite biographie :
Avec près de 40 ans d'une exceptionnelle carrière, Stevie Wonder a eu un des destins les plus remarquables de l'histoire de la Soul Music.
Stevland Judkins Morris naît le 13 Mai 1950 à Saginaw, Michigan, 1 mois avant terme. C'est un excès d'oxygène dans sa couveuse qui le rend aveugle peu après la naissance. Après le départ de son père du foyer familial, lui et ses 5 frères et soeurs sont élevés par leur mère, Lula Mae Hardaway. En 1954, la famille s'installe à Detroit, où Stevie découvre la musique. À 7 ans, il prend ses premières leçons de piano, puis devient soliste dans le choeur de la Whitestone Baptist Church. Mais il écoute aussi le R&B que diffusent abondamment les radios locales, notamment Sam Cooke et Ray Charles. Sa passion dévorante pour la musique le pousse aussi à s'intéresser à d'autres instruments, comme l'harmonica, qui deviendra un de ses atouts majeurs, ou la batterie, qu'il jouera plus tard assez fréquemment sur ses albums.
Présenté à Brian Holland et Berry Gordy par un des membres des Miracles, Ronnie White, il n'a que 11 ans lorsqu'il signe chez Motown. Sous le surnom de Little Stevie Wonder, il enregistre son premier titre en 62, "I Call It Pretty Music (But The Old People Call It The Blues)", mais c'est son 4e single, "Fingertips", qui lui ouvre en 63 les portes du succès. Cette chanson, extraite de l'abum live "The 12 Year-Old Genius" (avec un certain Marvin Gaye à la batterie), est le premier enregistrement public à atteindre la 1ere place des charts...
Durant cette adolescence peu banale, le jeune Stevie est complètement pris en charge par Motown: On engage un précepteur pour s'occuper de son éducation lorsqu'il ne peut pas se rendre à l'institution pour aveugles où il est inscrit, et sa carrière artistique est confiée au producteur Clarence Paul.
À partir de 64, son nom s'abrège simplement en Stevie Wonder, et chacune de ses nouvelles chansons confirme un peu plus le succès des précédentes: "Uptight", "Nothing's Too Good for My Baby" et "A Place In The Sun" en 66, "I Was Made to Love Her" en 67, "For Once in My Life", "My Cherie Amour", "Signed Sealed Delivered (I'm Yours)" en 69...
En 70, Stevie épouse une autre artiste de Motown, la chanteuse Syreeta Wright, avec laquelle il collabore aussi sur le plan artistique jusqu'à leur divorce en 72.
En 71, lorsqu'il atteint sa majorité légale, Motown doit lui payer les royalties accumulées depuis le début de sa carrière. Mais au lieu des 30 millions de dollars qu'elle lui doit, la compagnie ne lui verse qu'un seul million. Ce litige le place en position de force pour arracher à Motown un statut de relative indépendance, comme Marvin Gaye y était déjà parvenu peu de temps auparavant.
Il monte alors sa propre maison d'édition, Black Bull Music, et son studio d'enregistrement, Taurus Productions. Cette structure lui permet à la fois de composer et réaliser ses albums librement (mais toujours financés et distribués par Motown) et de préserver ses intérêts financiers. Il suit aussi des cours de composition, et s'intéresse de très près à l'évolution d'un type d'instrument relativement nouveau, les synthétiseurs. Cette époque est un réel tournant dans la carrière de Stevie Wonder, puisque ces nouvelles possibilités lui permettent enfin de s'affirmer en tant que compositeur, auteur et producteur, et non plus comme un simple interprète à l'immense talent.
C'est ainsi que naissent ses premiers albums vraiment personnels "Where I'm Coming From" et "Music of My Mind", qu'il enregistre pratiquement seul, avec l'aide de Robert Margouleff et Malcolm Cecil pour la programmation des synthés. Il lui arrivera encore souvent par la suite de jouer la plupart des instruments lui-même. Durant cette même période, il étend encore sa notoriété en participant à une tournée des Rolling Stones. Stevie n'a alors que 21 ans !...
La richesse de sa personnalité musicale est un peu plus évidente à chaque nouvel album:
- "Talking Book" en 72, avec ses 2 énormes hits "Superstition" (écrit pour Jeff Beck qui l'enregistre peu après sur son album "BBA") et "You Are the Sunshine of My Life"
- "Innervisions" en 73, dont sont extraits "Higher Ground" et "Living for the City"
- "Fulfillingness' First Finale" en 74, avec notamment "Boogie on Reggae Woman"...
- L'abum de 76 "Songs In the Key of Life" recèle un de ses plus grands standards, "Isn't She Lovely", composé pour célébrer la naissance de sa fille Aisha, mais aussi "I Wish" et "Sir Duke" (en hommage à Duke Ellington).
- Le surprenant "Journey Through the Secret Life of Plants" de 79 est un semi-échec commercial, mais l'année suivante, l'album "Hotter Than July" renoue avec le succès grâce à "Master Blaster (Jammin')", et surtout un "Happy Birthday" dédié à Martin Luther King. Wonder a en effet beaucoup milité pour que le jour anniversaire du Dr King soit déclaré férié, ce qui est finalement adopté le 20 Octobre 83.
Dans les années 80, les albums se succèdent à un rythme moins soutenu, et sont d'une qualité plus inégale, mais quelques hits incontournables lui permettent d'asseoir solidement sa popularité: "Ebony and Ivory", en duo avec Paul McCartney, "I Just Called to Say I Love You", "Part Time Lover"...
Depuis les années 90, son activité s'est encore ralentie, les disques et les tournées sont de plus en plus espacés. En 91, Wonder revient en force avec la B.O. du film "Jungle Fever" de Spike Lee, puis enregistre en 95 l'excellent album en public "Natural Wonder".
Bien qu'il soit moins sur le devant de la scène depuis plusieurs années, Stevie Wonder est indéniablement un des artistes-clé de la Soul Music contemporaine. Ses 17 Grammy Awards (dont un Grammy's Lifetime Achievement Award en 96) et son entrée au Rock'n'Roll Hall of Fame en 1989 prouvent bien le profond respect que la profession voue à son oeuvre. Par sa créativité musicale et la pertinence de ses textes (traitant souvent de sujets brûlants comme la guerre, la drogue, l'égalité raciale...), il fait partie, à l'instar de Curtis Mayfield ou Marvin Gaye, de ceux qui ont permis à cette musique de survivre à l'épreuve du temps, en s'intégrant aux nouveaux courants musicaux sans pour autant renier ses origines. 
Short biography :
With nearly 40 years of exceptional career, Stevie Wonder has a destiny of the most remarkable of the history of Soul Music.
Stevland Judkins Morris was born on 13 May 1950 in Saginaw, Michigan, 1 month before term. It is an excess of oxygen in his incubator which makes blind shortly after birth. After the departure of his father's home, he and his 5 brothers and sisters were raised by their mother, Lula Mae Hardaway. In 1954 the family moved to Detroit, where Stevie discovers music. At 7 years, he took his first piano lessons, then became a soloist in the choir of Whitestone Baptist Church. But he listens as the R & B that broadcast local radio extensively, including Sam Cooke and Ray Charles. His passion for music is pushed to look for other instruments like the harmonica, which became one of its major assets, or the battery, it will later fairly frequently on their albums.
Presented to Brian Holland and Berry Gordy by a member of Miracles, Ronnie White, he was only 11 years old when he signed with Motown. Under the nickname of Little Stevie Wonder, he recorded his first title in 62, "I Call It Pretty Music (But The Old People Call It The Blues)", but his 4th single, "Fingertips", which opens in 63 doors to success. The song, taken from the aBum live "The 12 Year-Old Genius" (with some Marvin Gaye on drums), is the first registration to reach the 1st place charts ...
During adolescence, the young Stevie is fully supported by Motown: we hire a tutor to deal with his education when he can not get to the institution for the blind where he is registered, and his career Art is entrusted to producer Clarence Paul.
From 64, its abbreviated name simply by Stevie Wonder, and each of his new songs a little more confirms the success of previous "Uptight", "Nothing's Too Good for My Baby" and "A Place In The Sun" in 66, "I Was Made To Love Her" by 67, "For Once in My Life," "My Cherie Amour," "Signed Sealed Delivered (I'm Yours)" in 69 ... 70, Stevie marries another Motown artist, singer Syreeta Wright, with whom he collaborates on art until their divorce in 72.
In 71, when it reached its majority, Motown must pay royalties accrued since the beginning of his career. But instead of $ 30 million it owes, the company does not pay him one million. The dispute puts in a strong position to snatch at Motown status of relative independence as Marvin Gaye was already reached shortly before.
He then mounted his own publishing house, Black Bull Music, and his recording studio, Taurus Productions. This structure allows it to both compose and perform their albums freely (but still financed and distributed by Motown) and protect its financial interests. It also follows the course of composition, and looks very closely the evolution of a type of instrument relatively new synthesizers. This time is a real turning point in the career of Stevie Wonder, since these new opportunities finally allow him to assert itself as a composer, writer and producer, rather than as a mere interpreter to the immense talent. Thus were born the first truly personal albums "Where I'm Coming From" and "Music of My Mind", it saves almost alone, with the help of Robert Cecil and Malcolm Margouleff for programming synths. It often happens thereafter playing most instruments himself. During this same period, yet it extends its reputation by participating in a tour of the Rolling Stones. Stevie was then that 21 years! ...
The richness of his musical personality is a little more obvious with each new album:
- "Talking Book" in 72 with 2 huge hits "Superstition" (written for Jeff Beck who recorded shortly after on his album "BBA") and "You Are the Sunshine of My Life"
- "Innervisions" in 73, which are extracted "Higher Ground" and "Living for the City"
- "Fulfillingness' First Finale" in 74, including "Boogie on Reggae Woman" ...
- The aBum of 76 "Songs in the Key of Life" contains one of its greatest standards, "Is not She Lovely", composed to celebrate the birth of his daughter Aisha, but also "I Wish" and "Sir Duke "(A tribute to Duke Ellington).
- The surprising "Journey Through the Secret Life of Plants" 79 is a semi-failure, but the following year, the album "Hotter Than July" revives the success thanks to "Master Blaster (Jammin ')" and above all a "Happy Birthday" dedicated to Martin Luther King. Wonder has a lot campaigned for the anniversary of Dr. King declared a public holiday, which was finally adopted on 20 October 83.
In the 80s, albums succeed at a slower pace, and are of a more uneven quality, a few hits but Must allow it to firmly establish its popularity: "Ebony and Ivory" duet with Paul McCartney, " I Just Called to Say I Love You "," Part Time Lover "...
Since the 90s, his business has slowed again, records and tours are increasingly spaced. In 91, Wonder is back in force with the theme of the film "Jungle Fever" by Spike Lee, then saves in 95 excellent public album "Natural Wonder".
Although less on the scene for several years, Stevie Wonder is undoubtedly one of the key artists of contemporary Soul Music. His 17 Grammy Awards (including a Grammy's Lifetime Achievement Award 96) and entering the Rock'n'Roll Hall of Fame in 1989 proved the profound respect that the profession dedicated to his work. By its musical creativity and relevance of texts (often addressing hot topics such as war, drugs, racial equality ...), it belongs, like Curtis Mayfield.
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KAPONGA Aotearoa "New Zealand and
the South Pacific" 
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